Les spécificités juridiques de la fashion technology

fashion technologyLes spécificités juridiques de la fashion technology sont les précisions que Naïma Alahyane-Rogeon a données, à Ludmilla Intravaia lors de son interview pour Le Boudoir Numérique. Elle fait suite au petit-déjeuner débat, organisé à l’occasion de la Fashion Tech Week de Paris, au sein du cabinet Lexing Alain Bensoussan Avocats.

En octobre 2018, Naïma Alahyane-Rogeon, avocate en droit du numérique et des technologies avancées et férue de fashion technology :

  • coanimait une conférence sur les technologies numériques émergentes dans le domaine textile et
  • faisant le point sur les perspectives juridiques de ce secteur innovant.

La fashion technology est l’illustration de l’interaction et la concertation entre deux univers différents disposant de leurs propres codes, celui de la mode et de la technologie. En témoigne le développement des textiles intelligents au carrefour de la mode, de l’internet des objets, des données personnelles et du prototypage virtuel, au cœur de l’innovation.

Or, chacun de ces différents aspects techniques, est régi par un droit spécifique qui lui est propre.

Si vous avez envie de lancer un produit fashion tech et que vous vous posez des questions sur le volet juridique, Naïma Alahyane-Rogeon vous explique tout !

Imaginons un designer, en train de concevoir un objet fashion tech. Quel doit être son premier réflexe, d’une point de vue juridique ?

Si les vêtements connectés collectent des donnés à caractère personnel, quelles sont les règles à respecter ?

Une des particularités de la création fashion tech est d’être collaborative. Cette spécificité s’illustre-t-elle en matière juridique ?

Quels conseils juridiques donneriez-vous à un designer de fashion tech qui a envie de se lancer sur le marché ?

Pour conclure, un designer ne doit pas négliger la protection juridique de son innovation technologique. Même si, comme dans toute création, d’autres aspects entrent en jeu tels le :

  • volet artistique ou
  • développement commercial, par exemple.

Cette réflexion sur la protection juridique, et plus globalement sur le volet juridique, doit être intégrée, dès le départ. Il serait dommage de passer outre cette étape fondamentale, indispensable à l’exploitation paisible de son œuvre.

Retrouvez toutes les réponses à ces questions avec l’interview de Naïma Alahyane-Rogeon :

« Loi et fashion tech : que faut-il savoir ? », par Ludmilla Intravaia pour Le Boudoir Numérique le 9 janvier 2019.

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